RDW La Vraie France, [lundi 7 octobre 2024 05:55]
Document trouvé sur internet, suivi de notre réflexion
Dans l’Empire romain, qu’arrivait-il aux esclaves lorsqu’ils vieillissaient ?
En général, avant qu’il n’atteigne un âge canonique, le maître libérait son esclave. Oui, l’affranchissement des esclaves était une pratique très courante à Rome ! En fait, les Grecs étaient choqués par le nombre d’esclaves que les Romains libéraient. Je tiens à préciser que l’esclavage à Rome n’était pas une sinécure. Vous étiez physiquement, psychologiquement et sexuellement vulnérables aux caprices de votre maître et certains maîtres étaient extrêmement cruels (surtout en Sicile).
Cependant, les Romains avaient tellement d’esclaves au premier siècle de notre ère qu’ils pouvaient se permettre de les libérer après environ dix ans de bons services. La raison pour laquelle un maître pouvait être enclin à agir de la sorte était qu’après avoir été affranchi, l’esclave était toujours un « client » de son « patron » (l’ancien maître). La relation de clientélisme de la Rome antique est trop complexe pour être détaillée ici, mais il suffit de dire que les clients comptaient sur le patron pour un soutien économique, tandis que le patron comptait sur le client pour un soutien politique et juridique (il pouvait se porter garant de votre moralité lors d’un procès, par exemple, ce qu’il ne pouvait pas faire s’il n’était pas encore affranchi).
Au début du deuxième siècle, cependant, les marchés d’esclaves ont commencé à se tarir. Cela a conduit à une amélioration des droits de l’homme et, sous le règne d’Hadrien, il est devenu illégal de tuer un esclave. En outre, à cette époque, il était très mal vu de maltraiter son esclave. Entendre dire que votre voisin maltraitait son esclave revenait à entendre que votre voisin maltraitait aujourd’hui son animal de compagnie. Les esclaves faisaient partie de la famille et, après leur libération, ils faisaient partie de la relation client-patron. Pour tout dire, il existe de nombreux exemples de personnes qui affranchissaient leur esclave et l’épousaient ensuite ! Si votre esclave mourait prématurément ou n’était tout simplement pas affranchi avant sa mort, il pouvait même s’attendre à être enterré avec son maître et la famille de ce dernier dans certains cas.
Que choisiriez-vous ?
A force d’étudier l’Histoire, on s’aperçoit que le sort de nos contemporains n’est pas si enviable que cela… Combien n’accepteraient-ils pas d’être éventuellement physiquement un esclave, s’il pouvait disposer ensuite d’une vie de liberté intégrale, sans impôt, sans contrôle, sans vaccins, sans la bande de psychopathes mondialistes, sans les phosphates, sans haarp, sans les édulcorants alimentaires, sans les radars sur la route, sans les chemtrails, sans le réseautage de la prostitution, sans les prélèvements d’organe en fin de soirée sans les millions d’agences, bureaux, pôles qui vous contrôlent, sans le vice à tous les étages, sans la drogue, sans l’insécurité, sans les normes universelles, sans les gestes barrière, sans les médias, sans l’omniprésence étatico-policière, sans les fuck-checkers, sans l’école pourrie, sans les drag-queens, sans le transgenrisme, sans la perversion mentale, sans l’inversion, sans l’histoire mémorielle obligatoire quatre fois par semaine, sans la destruction de l’activité économique, sans les confinements toujours possibles, sans les papiers d’identité, sans les ondes et radiations, sans l’invasion migratoire, sans les attentats, sans le kidnapping d’enfants par dizaines de milliers chaque année par l’Etat ou les réseaux pédocriminels, sans la machine judiciaire industrielle, sans…. (liste à compléter) ?
Je suis sûr que 99% de la population se précipiterait.
RDW
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