ATTENDU que la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen du 26 août 1789, fondement du droit français, stipule quant à elle, en son Article 16 : « Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution »,
ATTENDU qu’il est prescrit en cas d’invasion ou de tyrannie que le peuple a non seulement le droit, mais le devoir de se révolter et de repousser ses envahisseurs et tyrans, qu’il est prescrit même droit et devoir en cas de violation du droit, des libertés individuelles, perte de souveraineté, paupérisation ou empoisonnements organisés, et moult autres situations,
ATTENDU que de la sorte, la Résolution 37/43 de l’Assemblée générale des Nations Unies, adoptée le 3 décembre 1982 : « réaffirme la légitimité de la lutte des peuples pour l’indépendance, l’intégrité territoriale, l’unité nationale et la libération de la domination étrangère et coloniale et de l’occupation étrangère par tous les moyens disponibles, incluant la lutte armée » (voir aussi les Résolutions de l’Assemblée générale des Nations Unies 1514, 3070, 3103, 3246, 3328, 3382, 3421, 3481, 31/91, 32/42 et 32/154), le droit à la résistance est établi, et non seulement, mais encore conforté, légitimé par l’article 1er §4 du premier protocole additionnel de Genève du 08 juin 1977 qui précise que, parmi les conflits armés internationaux, figurent ceux « dans lesquels les peuples luttent contre la domination coloniale et l’occupation étrangère et contre les régimes racistes dans l’exercice du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes… »,
ATTENDU que si le peuple n’agit pas, il sera coupable de trahison et perdra de ce fait tout droit à revendiquer ce qui lui appartient,
ATTENDU que depuis l’an de disgrâce 2009, le Traité de Lisbonne ayant été rejeté par une majorité de citoyens par référendum, a néanmoins transféré de facto le pouvoir exécutif national entre les mains de la Commission européenne, laquelle est non-élue et non-représentative, le dit traité a fait perdre la dimension d’Etat de Droit à la République française, devenue simple région ou satrapie,
ATTENDU que la dette excède actuellement la production nationale, que le déficit budgétaire amène l’endettement lequel correspond à une captation de la souveraineté et l’institutionnalisation de la vassalisation nationale, et que le régime normal est la liberté et indépendance,
ATTENDU que par décret du 22 décembre 1958, l’article 5 de la magistrature stipule : « Les magistrats du parquet sont placés sous la direction et le contrôle de leurs chefs hiérarchiques et sous l’autorité du garde des Sceaux, Ministre de la Justice », et que par conséquent il y a confusion des pouvoirs et donc sortie de l’Etat de Droit,
ATTENDU qu’il en découle que tous les fonctionnaires de la République française sont dénués de titre,
ATTENDU qu’il ressort du tout que toute personne ayant agi en qualité de délégataire de la puissance publique l’a fait à tort, que les juges, policiers, président du département et autres fonctionnaires ont agi sans titre, que leurs actes sont de fait invalides et annulés, qu’ils ont agi en plus contre le droit français et donc contre le peuple,
ATTENDU que les pays d’Occident sont occupés illégalement, d’une part du fait d’envahisseurs importés qui font régner une terreur dans les rues, d’autre part du fait d’une fausse élite, apatride, antinationale et identifiée, qui ne fait pas mystère de ses vœux et fait venir ces envahisseurs aux fins de détruire les dits peuples, a subverti à son profit tous les rouages de l’Etat ainsi que les médias de propagande, agissant sous couvert laïc mais en réalité confessionnelle, sectaire, suprémaciste et racialiste, la libération est rendue impérative et ce, par quelque moyen politique que ce soit,
ATTENDU que les peuples déplacés par ces migrations subventionnées occasionnent à leur pays d’origine déchéance, pauvreté, perte de souveraineté et défaut de développement,
ATTENDU que les gouvernants successifs de la dite « République française » se sont montrés incapables de maintenir la paix, la Justice, l’instruction, la santé, la vie privée, la liberté, l’économie, la sécurité et a fortiori la prospérité, ainsi que tout ce qui découle des précédentes,
ATTENDU que la dite République française n’a installé sa puissance que par rapt du pouvoir, par coups d’État successifs en 1792, 1945 et 1958, sans que le régime précédent n’ait abdiqué ou déclaré sa dissolution,
ATTENDU que la constitution de 1789 prévoit que l’impôt est librement consenti (page 1, page 2, page 3, page 4, page 5, page 6, page 7, page 8, page 9, page 10),
ATTENDU que non seulement les gouvernants républicains n’ont pas été compétents mais se sont montrés particulièrement zélés à détruire la Nation et l’Etat, qu’ils ont par ailleurs profité de moult avantages produisant l’enrichissement personnel, l’amnistie systématique, l’immunité judiciaire, la reconduite aux postes, diverses manipulations de la loi électorale, les trucages réitérés de scrutins, tandis qu’ils étaient souvent majoritairement condamnables en maintes affaires où leurs concitoyens ont été lésés, qu’ils ont multiplié pillages, crimes, viols, déprédations de toutes sortes y compris qui ne sont pas prévues par la loi, famines, meurtres de masse y compris de petits enfants, maladies et épidémies, subversion, concussion, corruption, prévarication, népotisme, manipulations successives des lois et des institutions, dilapidation des ressources publiques et privées, privatisations indues, qu’ils ont engagé le peuple par des signatures contre lesquelles il s’opposait formellement, quand, encore, il était consulté, tout cela étant parfaitement documenté et plus qu’il n’est nécessaire,
ATTENDU que le peuple a été privé de ses droits et de ses libertés,
ATTENDU que la constitution de la Vème République prévoit 5 types différents de référendums : les référendums législatifs (article 11), les référendums constituants (article 89), les référendums d’initiative partagée (article 11 al.3), les référendums territoriaux (article 72-1) et les référendums d’autodétermination et que depuis le dernier référendum législatif organisé en France le 29 mai 2005 qui portait sur la ratification du traité établissant une Constitution pour l’Europe, que les électeurs ont rejetée avec 54,67 % de votes contre, plus aucun référendum n’a été organisé, tandis que plusieurs événements d’une extrême gravité, dans lequel et l’Etat ont été gravement engagés, qui exigeaient de telles consultations,
ATTENDU que le peuple n’est pas consulté comme il se devrait,
ATTENDU que l’article premier du Code Civil dispose à l’origine que « les lois sont exécutoires dans tout le territoire français, en vertu de la promulgation qui en est faite par le Premier consul », texte modifié de plein droit par le roi Louis-Philippe, héritant légitimement du pouvoir, en « les lois sont exécutoires dans tout le territoire français, en vertu de la promulgation qui en est faite par le roi », que la mention demeure en fait et rend nulle toute loi édictée depuis lors, que la modification en faveur du « Président de la République » a d’abord été faite par un addenda à titre purement informatif commis par l’éditeur du code, à savoir Vidal agissant à titre privé, puis par une ordonnance du 20 février 2004 édictée par le premier ministre Raffarin, de pure convenance et hors du droit, puisque du fait dudit article, émanée d’un chef d’un gouvernement illégitime,
ATTENDU que la dite République française s’est rendue coupable de crimes incluant abandon délibéré de populations alliées, terrorisme, destruction, renversements de gouvernements, assassinats, pillages, génocides, ceci à l’étranger comme en ses propres frontières, qu’elle a sciemment dilapidé ou détruit des biens nationaux en masse, qu’elle a été condamnée moult fois par la communauté internationale en des actes aussi bien légaux qu’en de nombreuses déclarations, qu’elle est relaps, récidiviste, multi-récidiviste,
