Les 145 mesures

Au Nom du Peuple français

Pour un Coup d’Etat pacifique et légitime

SELON LE JUSTE DROIT

145 mesures

dont

19 à prise d’effet immédiat

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« Il ne faut pas exiger du peuple qu’il prenne le pouvoir, mais il faudra exiger qu’il le reçoive. »

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ATTENDU qu’il est prescrit en cas d’invasion ou de tyrannie que le peuple a non seulement le droit, mais le devoir de se révolter et de repousser ses envahisseurs et tyrans,

ATTENDU que s’il n’agit pas, il sera coupable de trahison et perdra de ce fait tout droit à revendiquer ce qui lui appartient,

ATTENDU que la dette excède actuellement la production nationale, que le déficit budgétaire amène l’endettement lequel correspond à une captation de la souveraineté et l’institutionnalisation de la vassalisation nationale, et que le régime normale est la liberté et indépendance,

ATTENDU que la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen du 26 août 1789, fondement du droit français, stipule, quant à elle, en son Article 16 : « Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution »

ATTENDU que par décret du 22 décembre 1958, l’article 5 de la magistrature stipule : « Les magistrats du parquet sont placés sous la direction et le contrôle de leurs chefs hiérarchiques et sous l’autorité du garde des Sceaux, Ministre de la Justice », et que par conséquent il y a confusion des pouvoirs et donc sortie de l’Etat de Droit,

ATTENDU qu’il en découle que tous les fonctionnaires de la République française sont dénués de titre,

ATTENDU qu’il ressort du tout que toute personne ayant agi en qualité de délégataire de la puissance publique l’a fait à tort, que les juges, policiers, président du département et autres fonctionnaires ont agi sans titre, que leurs actes sont de fait invalides et annulés, qu’ils ont agi en plus contre le droit français et donc contre le peuple,

ATTENDU que la Résolution 37/43 de l’Assemblée générale des Nations Unies, adoptée le 3 décembre 1982 : « Réaffirme la légitimité de la lutte des peuples pour l’indépendance, l’intégrité territoriale, l’unité nationale et la libération de la domination étrangère et coloniale et de l’occupation étrangère par tous les moyens disponibles, incluant la lutte armée » (voir aussi les Résolutions de l’Assemblée générale des Nations Unies 1514, 3070, 3103, 3246, 3328, 3382, 3421, 3481, 31/91, 32/42 et 32/154), le droit à la résistance est établi, et non seulement, mais encore conforté, légitimé par l’article 1er §4 du premier protocole additionnel de Genève du 08 juin 1977 qui précise que, parmi les conflits armés internationaux, figurent ceux « dans lesquels les peuples luttent contre la domination coloniale et l’occupation étrangère et contre les régimes racistes dans l’exercice du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes… »

ATTENDU que les pays d’Occident sont occupés illégalement, d’une part du fait d’envahisseurs importés qui font régner une terreur dans les rues, d’autre part du fait d’une fausse élite, apatride, antinationale et identifiée, qui ne fait pas mystère de ses vœux et fait venir ces envahisseurs aux fins de détruire les dits peuples, a subverti à son profit tous les rouages de l’Etat ainsi que les médias de propagande, agissant sous couvert laïc mais en réalité confessionnelle, sectaire, suprémaciste et racialiste, la libération est rendue impérative et ce, par quelque moyen politique que ce soit,

ATTENDU que les peuples déplacés par ces migrations subventionnées occasionnent à leur pays d’origine déchéance, pauvreté, perte de souveraineté et défaut de développement,

ATTENDU que les gouvernants successifs de la dite « République française » se sont montrés incapables de maintenir la paix, la Justice, l’instruction, la santé, la vie privée, la liberté, l’économie, la sécurité et a fortiori la prospérité, ainsi que tout ce qui découle des précédentes,

ATTENDU que la dite République française n’a installé sa puissance que par rapt du pouvoir, par coups d’État successifs en 1792, 1945 et 1958, sans que le régime précédent n’ait abdiqué ou déclaré sa dissolution,

ATTENDU que la constitution de 1789 prévoit que l’impôt est librement consenti (page 1, page 2, page 3, page 4, page 5, page 6, page 7, page 8, page 9, page 10),

ATTENDU que non seulement les gouvernants républicains n’ont pas été compétents mais se sont montrés particulièrement zélés à détruire la Nation et l’Etat, qu’ils ont par ailleurs profité de moult avantages produisant l’enrichissement personnel, l’amnistie systématique, l’immunité judiciaire, la reconduite aux postes, diverses manipulations de la loi électorale, les trucages réitérés de scrutins, tandis qu’ils étaient souvent majoritairement condamnables en maintes affaires où leurs concitoyens ont été lésés, qu’ils ont multiplié pillages, crimes, viols, déprédations de toutes sortes y compris qui ne sont pas prévues par la loi, famines, meurtres de masse y compris de petits enfants, maladies et épidémies, subversion, concussion, corruption, prévarication, népotisme, manipulations successives des lois et des institutions, dilapidation des ressources publiques et privées, privatisations indues, qu’ils ont engagé le peuple par des signatures contre lesquelles il s’opposait formellement, quand, encore, il était consulté, tout cela étant parfaitement documenté et plus qu’il n’est nécessaire,

ATTENDU que le peuple a été privé de ses droits et de ses libertés,

ATTENDU que la constitution de la Vème République prévoit 5 types différents de référendums : les référendums législatifs (article 11), les référendums constituants (article 89), les référendums d’initiative partagée (article 11 al.3), les référendums territoriaux (article 72-1) et les référendums d’autodétermination et que depuis le dernier référendum législatif organisé en France le 29 mai 2005 qui portait sur la ratification du traité établissant une Constitution pour l’Europe, que les électeurs ont rejetée avec 54,67 % de votes contre, plus aucun référendum n’a été organisé, tandis que plusieurs événements d’une extrême gravité, dans lequel et l’Etat ont été gravement engagés, qui exigeaient de telles consultations,

ATTENDU que le peuple n’est pas consulté comme il se devrait,

ATTENDU que l’article premier du Code Civil dispose à l’origine que « les lois sont exécutoires dans tout le territoire français, en vertu de la promulgation qui en est faite par le Premier consul », texte modifié de plein droit par le roi Louis-Philippe, héritant légitimement du pouvoir, en « les lois sont exécutoires dans tout le territoire français, en vertu de la promulgation qui en est faite par le roi », que la modification en faveur du « Président de la République » a d’abord été faite par un addenda à titre purement informatif commis par l’éditeur du Code, à savoir Vidal, agissant à titre privé, puis par une ordonnance du 20 février 2004 édictée par le premier ministre Raffarin, de pure convenance et hors du droit, puisque du fait dudit article, émanée d’un chef d’un gouvernement illégitime,

ATTENDU que la dite République française s’est rendue coupable de crimes à l’égard de l’étranger, incluant terrorisme, destruction, renversements de gouvernements, assassinats, pillages, génocides comme elle l’a fait en ses frontières, qu’elle a dilapidé des biens nationaux en masse, qu’elle a été condamnée moult fois par la communauté internationale en des actes aussi bien légaux qu’en de nombreuses déclarations, qu’elle est relaps, récidiviste, multi-récidiviste,

et pour bien d’autres motifs encore, déclarons solennellement :

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Françaises, Français,

nous proclamons la fin de la République et le rétablissement du Droit.

Notre pays a connu l’équivalent d’une guerre. Non seulement notre pays, mais une bonne partie de l’Europe, et bien d’autres pays dans le monde. Tout a été saccagé. Etat, santé, justice, éducation, sols, commerce, savoir-faire, économie, industrie, autorité publique, armées, patrimoine, tout est à terre.

Pis encore : une véritable entreprise de destruction vise non plus seulement vos biens, mais vous-mêmes et votre descendance.

Tout est violé aussi, jusqu’aux textes fondateurs.

Nous devons donc agir.

Le Renversement se fera dans l’ordre, dans le respect des personnes et, au cas où quiconque serait atteint dans son intégrité par les nécessités de l’action physique, dans le respect de la loi morale supérieure.

Le gouvernement provisoire prendra les premières décisions d’urgence, immédiatement applicables.

  1. La République française est dissoute, la France est rétablie sur le champ
  2. Suspension de l’activité, jusqu’à nouvel ordre et hormis les forces de maintien de la sécurité, de toutes les institutions, Ministères, Chambres, Ordres, Conseils, Agences, Bureaux, Observatoires, en bref toutes organisations étatiques ou para-étatiques qui se comptent dans ce pays par centaines de milliers voire par millions, certaines pour une durée très courte afin de ne point permettre le chaos, d’autres définitivement, pour le faire cesser (dont URSSAF, SAFER, ASE, Pôle-Emploi, le Conseil Economique et Social – CESE, le Plan, …)
  3. Dissolution des institutions incompatibles avec la vraie France
  4. Restitution de tous les enfants à leurs parents, pour autant que leur éloignement et placement n’ont pas été motivés par des violences ou autres délits graves à l’encontre de leur progéniture de leur fait
  5. Suspension immédiate de tout épandage par voie aérienne ou autre ; l’épandage de produit non naturel est considéré comme empoisonnement de masse, dorénavant formellement interdit, et passible de la peine maximale encourue
  6. Interdiction de toute adduction dans l’eau de consommation domestique, tel le fluorure. L’eau publique sera de l’eau, à 100%. Toute infraction sera punie des peines valant pour l’empoisonnement public entraînant la mort
  7. Arrêt de toute installation du réseau 5G. Toute tentative est considérée comme dans art. précédent
  8. Suspension de toute activité des organisations étatiques ou para-étatiques notamment d’autorité ou de surveillance publique, policières et militaires ou non, clandestines ou déclarées, sauf en ce qui concerne le maintien de l’ordre public strictement compris ; suspension de tout vol militaire et de tout déplacement d’objets balistiques militaires quels qu’ils soient jusqu’à nouvel ordre
  9. Interdiction de toute vaccination de masse, et rétablissement de la responsabilité des laboratoires pharmaceutiques
  10. Annulation de toute amende ou condamnation déclarées du fait de participation à l’une des manifestations populaires dites des Gilets Jaunes ou de la Manif pour Tous, ou de tout rassemblement protestataire non-syndical, hors actes de déprédation et agressions, ou encore pour tout défaut de port du masque, rétablissement des droits individuels et remboursements des paiements effectués. Interdiction renouvelée du masque
  11. Suspension de l’impôt ou tout autre prélèvement direct, jusqu’à nouvel ordre
  12. Désengagement des Traités de Lisbonne, Maastricht, Schengen et rétablissement des frontières
  13. Suspension à prise d’effet immédiat de tout impôt ou prélèvement pour les métiers de productions naturelles (agriculture, pêche, maraîchage) ainsi que DE la réglementation, en bloc (une législation nouvelle sera adoptée incessamment, voir ci-dessous)
  14. Défiscalisation totale et déréglementation des métiers à revenu précaire
  15. Rétablissement des libertés publiques et privées. Suppression des lois sur l’opinion et modification constitutionnelle en faveur de la liberté d’expression intangible, libération des prisonniers politiques, amnistie totale et indemnisation maximale, réhabilitation des chercheurs et/ou lanceurs d’alerte persécutés pour le motif de leur travaux, de leur expression écrite ou orale ; poursuite et condamnation de leurs persécuteurs, juges y compris
  16. Mise en panne de tous les radars routiers automatiques, démantèlement du parc, abrogation de l’écotaxe ou de toute taxe assimilée, abrogation des ZFE
  17. Suspension de tout magistrat, policier, gendarme, haut fonctionnaire et autres appartenant à une maçonnerie ou organisation secrète antinationale, interdiction de double appartenance au service public et à une loge maçonnique
  18. Mise à pied de tout policier ayant commis des violences ou procédé à des arrestations abusives sur manifestants dans les 15 dernières années, jugé ou en attente de leur jugement
  19. Rétablissement de la liberté scolaire intégrale et notamment de la liberté de l’école à la maison

Viennent ensuite les décisions suivantes :

  1. Suppression de 580 taxes, impôts, droits, prélèvements, contributions, versements et autres redevances (sur les environ 600) , avec effet immédiat (dont suppression immédiate de la CSG, de toutes taxes sur la production d’énergie, de la TVA, de la Redevance audiovisuelle, de la Taxe d’habitation, de la Taxe Foncière, des Droits de succession. Baisse de la TICPE (prix à la pompe)
  2. Basculement de l’assiette de l’ex-TVA sur une « TVA sociale » (appliquée aux seuls produits d’importation)
  3. Taxation à 0.1% de toute transaction spéculative sur les marchés
  4. Création d’un fonds souverain énergétique 
  5. Prohibition du déficit budgétaire. Il est désormais interdit de voter un budget national en déficit
  6. Le taux d’endettement baisse de 10% de points de PIB par an, pour atteindre à terme 15% au strict maximum. Tout membre d’un gouvernement qui contrevient à cette règle est déchu de ses droits civiques et renonce à toute rémunération de l’Etat, y compris la retraite. Toute administration s’opposant à cette règle est dissoute
  7. L’État ne peut emprunter que sur une durée maximale de 5 ans. Tout emprunt doit être accompagné d’un plan de remboursement inscrit dans la loi de finances. Aucun emprunt ne peut être contracté pour des dépenses de fonctionnement
  8. L’emprunt ne peut être le fait que de la Banque de France (voir plus bas), l’Etat ne peut emprunter qu’auprès d’elle
  9. La Banque de France est une organisation nationale élue directement par le peuple au cours d’un scrutin annuel. Les membres directeurs de la Banque de France sont rémunérés en fonction de leurs résultats, ceux-ci devant inconditionnellement favoriser la prospérité de la Nation puis l’équilibre des budgets de l’Etat
  10. Séparation de l’Etat et des banques commerciales, restauration du statut de la Banque de France dont les membres, absolus (ie ab soluta: libres de tout lien) seront garants sur leurs biens. Les premières banques privées par l’importance sont nationalisées et confiées à des organismes indépendants (principe de nationalisation-privatisation).
  11. L’État doit couvrir au moins 90 % de ses nouveaux emprunts par des souscriptions de personnes physiques ou morales résidant fiscalement en France.
  12. L’Etat crée un fonds national d’investissement public, ouvert aux citoyens, à rendement garanti, défiscalisé, et destiné au remboursement de la dette et au financement de projets d’intérêt stratégique
  13. Récupération de l’argent non reversé par les administrations au Trésor
  14. Toute fraude sociale entraîne la sanction pénale, avec obligation de remboursement comprenant principal et intérêts ainsi que la privation pour dix ans des prestations concernées
  15. Annulation de 90% la dette nationale, moratoire sur le reliquat. Toute revendication étrangère au sujet de la dette en passera par la récupération des créances annulées par les gouvernements républicains, notamment en Ukraine, et par la réévaluation des pertes subies (par exemple dues à l’attentat américain contre Nord-Stream, la captation de notre souveraineté etc.)
  16. Les collectivités locales ne peuvent créer de l’impôt de manière arbitraire. Pour éviter que la décentralisation fiscale ne se traduise par une augmentation de la pression fiscale sur les ménages, instauration de la Substitution fiscale (au lieu de l’accumulation), la Concurrence fiscale encadrée, la Responsabilisation par la transparence, la Compression des coûts par la mutualisation, le « bouclier fiscal décentralisé » et la corrélation des revenus des personnels de la collectivité au résultat (entendu comme prospérité du citoyen)
  17. Pénalisation maximale de toute traite humaine
  18. Prohibition de toute monnaie numérique gouvernementale. Instauration du troc libre et détaxé
  19. Récupération de toute souveraineté, quant à la monnaie, à l’armement, aux communications, au territoire, aux fournitures vitales, aux engagements extérieurs, aux contributions et à tous les domaines qui sont susceptibles d’engager la souveraineté nationale. Rétablissement du crime de haute trahison
  20. Protection des entreprises françaises. Tout Etat prétendant faire valoir sa ou ses lois à l’encontre d’une entreprise nationale, privée ou publique, ou à l’encontre d’un ressortissant national au motif que cette société ou cette personne opérerait dans la monnaie de cet Etat ou avec des moyens de communication de cet Etat, se verrait en situation de casus belli avec la France. Il n’existe aucune loi étrangère valant sur le territoire national, y compris si cette loi étrangère ressort de la première puissance mondiale. L’Etat français se réserve la possibilité de déclarer librement la guerre à un Etat qui s’en prendrait aux intérêts nationaux ou à ses ressortissants, sans qu’il soit absolument nécessaire d’y recourir physiquement
  21. Pénalisation maximale de toute opération entamant la chair de l’individu en vue d’une pseudo transition sexuelle, ou autre transformation contre nature. Pénalisation de la prescription de substances modifiant entre autres le système hormonal, comme délit d’empoisonnement
  22. Pénalisation de la corruption à proportion du niveau où elle se pratique, jusqu’à des peines à perpétuité
  23. Rétablissement immédiat de la sécurité sur l’ensemble du territoire, selon les directives édictées par le gouvernement provisoire, notamment dans les quartiers et villes perdus. La force publique, qui agira à bon escient, selon directives et instructions nettes et avec des moyens nouveaux, aura carte blanche et ne saurait être inquiétée judiciairement durant la période considérée
  24. Baisse immédiate de l’impôt sur le revenu des particuliers, baisse drastique de l’impôt sur les sociétés dont plus de la moitié du capital est détenu par de vrais Français
  25. Création de taxations sur : les super-profits, la spéculation, les collections d’œuvres d’art, les activités polluantes (dont éolien et automobile électrique)
  26. Suppression de privilèges fiscaux (haut-fonctionnariat, journalisme, salariés EDF etc.), de toutes primes et avantages dans la fonction publique qui ont nanti une fraction de la population d’avantages injustes et généralement immérités (jusqu’aux scandaleuses « primes pour absence de primes », ou les « primes pour présentéisme ») disparaîtront ainsi que toutes les autres. La notion de prime dans la fonction publique sera assimilée pénalement à du vol d’argent public. Le fonctionnaire méritant verra simplement sa rémunération évoluer.
  27. Augmentation provisoire de toutes les retraites à un niveau minimal net de 1225 € (montant révisé trimestriellement selon l’inflation), abaissement provisoire de toutes les retraites du public à un niveau maximal (à déterminer).
  28. Dissolution de 27 ministères ou missions de l’Etat (voir liste). Le Ministère de l’Education nationale redevient, très justement, le Ministère de l’Instruction publique et son effectif est le plus faible de l’OCDE. La dissolution des ministères éteint les normes et réglementations qu’ils édictent. Certains ministères sont intégrés à des ministères existants
  29. Création du principe et de l’appareillage d’objectivation : l’administration est réglée par des données objectives, jusqu’aux décisions de Justice. Fin de l’arbitraire technocratique et judiciaire.
  30. Etablissement de principes directeurs:
    – L’impôt tue. Par conséquent, il doit être le plus réduit possible
    – A problème politique, solution non politicienne
    – En toute chose, l’objectivation primera dans la gestion de l’Etat et de ses affaires aussi bien intérieures qu’extérieures
    – Le syndicalisme ni aucune corporation, et moins encore une secte, ne saurait se subvertir à la souveraineté populaire
    – Il ne saurait être pris en considération des notions non-souveraines et éminemment subjectives telles que « la satisfaction » ou « la fierté » des fonctionnaires, l’emploi à vie d’iceux
    – La proposition peut émaner des assemblées élues, la décision revient au peuple
    – Le Peuple gouverne directement par le référendum d’initiative populaire, par l’initiative et l’élaboration des lois en commun avec l’assemblée des gens de savoir (les métiers)
  31. Abolition ou refonte de tous Codes (voir liste).
  32. Sortie de l’Europe dans les meilleurs délais (non-négociables par l’Europe), « Frexit ». Retour du franc et souveraineté monétaire. Sortie de diverses organisations internationales, dont CEDH, OMS, OMC. Abolition des contributions à l’Europe
  33. Restauration immédiate du statut du peuple souverain. Le peuple gouverne directement, extinction du système politique. Généralisation du système référendaire, participation directe à l’exercice législatif et judiciaire. Consultation nationale étendue et de droit
  34. Dissolution des deux Chambres parlementaires et refonte de la représentation nationale selon de nouveaux postulats intégrant l’expertise et une manière d’holacratie ; remplacement du Sénat par une assemblée de Sages maîtres en leurs domaines, en nombre réduit, engagés sur leur vie, dont le rôle est le conseil de la Nation, qui exerce directement le pouvoir. Abolition de la fonction du politicien (qui ne sait que faire de la politique en tant que telle)
  35. Dissolution des sectes satanistes et diverses organisations délinquantes ou criminelles (du CRIF, de la LICRA, de SOS-Racisme, du Betar, des ligues Antifa etc., coupables de menées antinationales, violences, subversion, violation des droits du peuple et Haute trahison). Mise à pied et mise en examen immédiates, avec privation de liberté, saisie des biens et déchéance de nationalité, de tout fonctionnaire maçon du 33ème degré et supérieurs
  36. Levée de l’obligation de se déplacer avec ses papiers d’identité. Remplacement systématique de tous les documents d’identité biométrique par des documents papier. On abandonnera à terme le passeport, qui n’existait pas avant 1914
  37. Rétablissement des Droits et Devoirs régaliens de l’Etat et budgets attachés : Défense nationale, Police, Justice, Finances (et émission de la monnaie), Droit de Grâce, Aménagement du Territoire, Diplomatie, Sécurité Nationale, Patrimoine, Secteurs spéciaux de la Recherche, Défense de la Consommation
  38. Refonte des attributions et pouvoir des mairies selon les meilleures propositions des Cahiers de doléances
  39. Restructuration des déficits personnels pour raison d’endettement passif des particuliers et des entreprises strictement nationales (100% des parts détenues par un national)
  40. Rétablissement du droit de poursuites des laboratoires en cas d’effets secondaires indésirables ou délétères pour l’un quelconque de leurs produits. 70 cas condamnés conduisent à l’interdiction dudit produit. Plus de mille cas en 10 ans conduisent à l’interdiction du dit laboratoire
  41. Dissolution des « ordres » (des médecins, des infirmiers, des pharmaciens etc.), rétablissement de la liberté médicale
  42. Interdiction généralisée des dons en nature ou autres au sein des administrations et des entreprises
  43. Démantèlement immédiat du parc éolien, arrêt de toute la filière. Publication officielle des données, poursuites engagées contre les responsables politiques
  44. Démantèlement des antennes 5G
  45. Suppression de tout dispositif, texte, institution organisant la très inutile réduction du CO2.
  46. Rétablissement de la santé naturelle. Le système de santé s’orientera vers les plantes et le monde naturel, il s’éloignera de la médecine lucrative. Abolition des protocoles erronés (cancers notamment, en partenariat avec les grands experts écartés par les institutions). Rétablissement de l’herboristerie professionnelle
  47. Interdiction de toute transfusion sanguine non-consentie par le patient, et interdiction formelle de toute transfusion sanguine provenant d’un vacciné
  48. Interdiction du brevetage du vivant
  49. Prohibition du remboursement de l’avortement et de toute organisation ou communication qui y serait favorable. Interdiction formelle sous peine des sanctions les plus sévères, de toute vente ou achat de tout organe ou élément extrait, sous quelque forme que ce soit, d’un embryon ou d’un corps, né ou à naître. Dissolution du Planning familial et organisations associées, comparution des dirigeants pour crime contre l’Humanité, saisie universelle des biens des dites organisations et des personnels, à quelque degré qu’ils appartiennent
  50. Interdiction de la PMA et de la GPA.
  51. Abolition des lois sociétales décadentistes, telles que l’apariage homosexuel et le PACS.
  52. Déchéance de la nationalité pour tout Français « de papier » (c’est-à-dire ayant obtenu la nationalité étant né à l’étranger ou enfant, ou petit-enfant d’étranger) commettant tout acte délictueux sanctionné par une condamnation à une peine de prison excédant un mois de prison avec sursis, et expulsion dans le pays d’origine, ou à défaut de reconnaissance d’une quelconque origine nationale, en territoire d’outre-mer aménagé à cet effet. Reconduite immédiate à la frontière de l’auteur étranger d’un quelconque délit sans possibilité de retour avant 5 ans, après paiement au-delà des seules réparations. Bannissement à vie en cas de retour clandestin et/ou récidive. Peine d’intérêt général en cas de faillite personnelle, saisie des biens. Expulsion à ses frais de tout étranger vivant aux dépends de l’aide sociale sans travailler sur une durée de plus de deux mois. Expulsion en cas de participation à une manifestation publique ou d’une occupation illégale d’un lieu. Mesure équivalente pour tout Français d’origine étrangère à une ou deux générations n’ayant pas travaillé durant une période excédant un an.
  53. Application ferme voire renforcement des peines prévues pour outrage à la pudeur, aux bonnes mœurs et à la dignité. Interdiction des manifestations de rue sexualistes, de la débauche publique, fermeture de tout établissement atteignant à la morale publique, de tout débit de drogue, de tout club décadent, de toute publication ou affichage similaire ou promouvant la subversion morale ou politique, de tout site internet similaire, avec peines de prison fermes en cas de récidive
  54. Tout signe public offensant à caractère sexuel ou injure invoquant la sexualité ou mettant en cause une quelconque parenté de la victime est sanctionné par une mise en examen
  55. Toute injure prononcée par un étranger envers un national conduit à l’expulsion immédiate, à ses frais, ainsi que tout désordre public ou atteinte à la tranquillité publique
  56. Détricotage législatif et mise à terme de la surenchère parlementaire et législative. Abrogation des circulaires, et ordonnances, suppression de tout décret n’étant pas circonscrit dans l’application stricte de la loi qu’il est censé illustrer. Assainissement et simplification : accessibilité, égalité devant la loi. Réduction à un corpus législatif et légal accessible par le citoyen. Toutes les lois, obligations (vaccinale, permis à points…) ou interdits votés et édictés depuis 1789 repassent devant le consentement populaire et la chambre législative, l’une après l’autre
  57. Établissement d’une politique agricole fondée sur la restauration immédiate de la biologie des sols, la polyculture, l’interdiction des productions dites intensives, retour aux méthodes naturelles. Déréglementation massive pour les métiers de productions naturelles (agriculture, pêche, maraîchage), défiscalisation totale sous condition de production à bilan kilocalorique positif . Suppression des contraintes sur les métiers (administratives, réglementaires, sécuritaires etc.) au niveau de 1950 (sauf exceptions spécifiques)
  58. Plan de désartificialisation, dégagement des surfaces bloquées dans des plans obsolètes, dissolution de la Safer, assouplissement en vue de réimplanter l’habitat en milieu naturel, selon des règles strictes
  59. Diminution drastique du nombre d’élus, maintien du nombre à parité fixe avec le nombre d’habitants.
  60. Diminution du nombre de fonctionnaires administratifs d’Etat et territoriaux à parité fixe avec le nombre d’habitants, engagements déontologiques stricts. Quasi-suppression des personnels des institutions centrales (chambres parlementaires, cours etc.)
  61. Fin de l’emploi garanti à vie dans la fonction publique. Instauration du mérite objectivé, conduisant à de meilleures rémunérations.
  62. Instauration d’une juridiction populaire jugeant les fonctionnaires sur saisine des citoyens, avec perte du statut après deux condamnations prononcées. Fin, de ce fait, de « l’emploi à vie »
  63. Indexation des revenus du politique sur ses activités réelles et la croissance
  64. Proclamation de l’inutilité des politiques, création d’un régime populaire à exercice direct, référendaire, législatif, judiciaire, sous contrôle de l’assemblée nouvelle
  65. Pénalisation de toute chirurgie-charcuterie visant à changer de sexe, avec peines de 10 années de réclusion incompressibles
  66. Limitation du cumul et des renouvellements des mandats
  67. Augmentation des salaires de fonctionnaires des premiers échelons (catégorie C) et des libéraux dépendants du domaine public (santé notamment)
  68. Établissement de nouveaux modes de scrutin (sauf Europe). Il sera uninominal à un tour.
  69. Suppression du département
  70. Suppression des mots faux et maçonniques « Égalité, fraternité » dans la devise nationale. Création d’une nouvelle devise
  71. Allègement draconien des documents administratifs, épuration des fiches salariales. La production d’un document administratif par l’administration sera rendue difficile et il sera rappelé qu’aucun n’est opposable au citoyen s’il n’en passe par la loi
  72. Contingentement de l’impôt territorial et national.
  73. Abolition des zones et banques défiscalisées de Polynésie ou d’ailleurs (où les politiciens français possèdent des comptes qui leur permettent de voir leurs chèques jamais encaissés par le Trésor public)
  74. Rétablissement d’un droit conforme à l’esprit des textes. Réhabilitation des juges d’instruction. Refonte du Code pénal et des divers autres textes. Extinction du droit procédural : on en revient à l’intention première. Introduction de la responsabilisation des juges, qui sont élus tous les 3 ans et leurs revenus personnels corrélés à leurs résultats, selon votation des personnes qu’ils ont eues à juger et leurs proches
  75. Création de l’échéance judiciaire. Raccourcissement des délais de justice et introduction de procédures à échéance fixe, sous peine de nullité. Création de l’infraction d’outre-délai, sanction des personnels judiciaires en ce cas, perte de la fonction à la troisième récidive.
  76. Mise en examen des magistrats et autres fonctionnaires (notamment de l’ASE) coupables de crimes, enlèvements, séquestrations, préventives abusives, relaxes abusives, désordres publics, condamnations d’opinions ou d’idées, ségrégationnisme, discriminations, crime en bande organisée, proxénétisme, constitution de réseaux criminels, ou quelque persécution motivée ou non par des appartenances à des organisations secrètes
  77. Rétablissement des peines physiques. Parce que la prison est une torture longue, les châtiments corporels sont généralement plus charitables, aussi bien pour les condamnés que pour les victimes. Pour les pédocriminels récidivistes, à la deuxième occurrence, castration chimique (ablation des ovaires pour les femmes)
  78. Rétablissement du crime de Haute trahison
  79. Rétablissement de la peine de mort pour les cas de récidive certaine en cas de condamnation maximale (tueurs en série). La peine de mort est moins douloureuse que la prison à vie, moins coûteuse pour la société également. Celle-ci est sollicitée par les magistrats et présentée au premier personnage de l’Etat qui en prend l’entière responsabilité. Ni la Justice ni la société ne condamnent à mort, selon l’enseignement « Tu ne tueras point »
  80. Modification de la Constitution, restauration des principes sacrés. On s’orientera à terme vers une abolition solennelle de la Constitution pour un retour aux libertés. L’Etat n’est plus le prescripteur des libertés. Le droit coutumier est préséant sur le droit juridique
  81. Recherche d’un accord mondial pour l’éviction de la spéculation pure et le jeu bancaire. Taxation sur le sol national de la dite spéculation boursière et bancaire. Abaissement des montants circulant à maximum 4 fois les actifs détenus. Désengagement des marchés de la part de l’Etat et collectivités. Prohibition de l’emprunt public sur les marchés : l’Etat seul prête à ses institutions, sous contrôle populaire
  82. Défiscalisation des échanges locaux libres
  83. Dissolution des centaines de milliers d’officines, agences, bureaux, dont le RSI, les CMPP, la DPJ, la MDPH, l’ASE, la PMI et autres organisations para-étatique plus ou moins légales, utiles, légitimes ou même mafieuses.
  84. Réforme complète de la Sécurité sociale. Sachant que les Hollandais, pour 100€ versés, récupèrent 105, et que les Français pour la même somme ne récupèrent que 26 (!), que la Sécu est en vérité une organisation mafieuse de racket qui opère purement et simplement le plus grand vol de tous les temps, dissolution de cet organisme. Les Français conserveront leur argent et n’auront plus d’obligation de cotiser. Fin effective de tout monopole de quelque organisme social que ce soit (et du scandale permanent de ces monopoles de la prévarication et du vol public). Condamnation de l’organisme pour chaque empêchement constaté, et mise à pied des juges qui auraient voté en ce sens dans les 3 dernières décennies
  85. Interdiction pour les organisations para-étatiques de prétendre agir pour l’Etat, abandon de toutes les délégations usurpées
  86. Nettoyage et contrôle strict des subventions publiques. Interdiction de subvention d’associations cultuelles, voire culturelles.
  87. Arrêt des subventions aux associations non reconnues d’utilité publique par consultation populaire (ne seront maintenues que les organisations recueillant plus de 80% d’avis favorables) ou par type d’activité, arrêt immédiat des subventions à la presse.
  88. Législation sur les syndicats et les organisations : obligation de publier des comptes.
  89. « Interdiction de toute opération de chirurgie transgenre. Peine de prison pour les chirurgiens coupables et perte de leur droits de praticiens
  90. Politique migratoire cohérente sur la base de compétences en fonction des besoins réels (contrats réels) et de l’asile politique exclusivement. Abolition de la politique migratoire qui décapite l’Afrique, bouclage de la mer
  91. Suppression des dépenses sociales en faveur des étrangers, en situation régulière ou irrégulière a fortiori venant se faire soigner de l’étranger
  92. Prohibition de la fraude fiscale. Arrestation des auteurs, obligation de rembourser, avec tâches d’intérêt commun jusqu’à épurement de la dette. Prohibition formelle des investissements à l’étranger produits par les collectivités locales (mairies, région…) et des dépenses ne favorisant pas les intérêts nationaux directs.
  93. Réduction et lisibilité du Code pénal (déclaration solennelle : la loi est faite pour l’homme et non l’homme pour la loi)
  94. Droit à l’autodéfense. Le citoyen est a priori en droit de se défendre physiquement lorsqu’il est agressé. Les citoyens sont en droit de constituer des milices de maintien de l’ordre, strictement encadrées par la loi selon l’adage « Force doit rester à la loi, et la loi est faite pour et par le peuple »
  95. Facilitation du droit d’investigation et d’enquête de l’autorité publique.
  96. Fusion de tous les services fiscaux, interlocuteur unique pour les citoyens et les entreprises
  97. Droit de réponse. L’administration est dans l’obligation de justifier ses actes. Elle répond à toute demande, sans quoi celle-ci est réputée acceptée au terme de trois mois
  98. Obligation pour le fonctionnaire de justifier tout acte par un texte voté et inscrit au Journal Officiel. Le doute est toujours favorable au citoyen, en ce cas toute interprétation en faveur de l’administration est réputée fautive. Le chef du service qui émet une affirmation abusive est sanctionné
  99. Prohibition sur les produits phytosanitaires et de consommation dangereux, interdiction de production, stockage et transit de ces produits
  100. Relance de la production d’énergies libres (défiscalisation), abandon de l’éolien et du photovoltaïque et autres opérations de pure spéculation subventionnée.
  101. Démantèlement intégral du réseau 5G et prohibition de toute technologie de communication anti-biologique
  102. Allégement du droit du travail, épuration du Code du Travail. Suppression de l’intervention du juge dans les procédures de licenciement, renouvellement de la liberté de création d’entreprise, suppression de déclarations, etc.
  103. Rétablissement du statut du médecin, du notaire, suppression des réglementations des métiers de la gynécologie,
  104. Rétablissement du délai de réflexion de 7 jours pour l’avortement, interdiction de l’avortement au-delà de 4 semaines de la conception. Référendum sur l’avortement en vue de l’abolition, dans le respect du principe du vivant
  105. Désengagement des conflits non stratégiques pour l’intérêt national
  106. Libération de l’initiative entrepreneuriale nationale par la suppression de tout impôt ou démarche avant d’atteindre un seuil de revenu bénéficiaire déterminé.
  107. Fin des programmes scolaires décidés de manière centralisée, fin du vice instillé par la commission européenne d’éducation et les ministères. Les programmes scolaires sont établis et choisis par les parents, ils sont multiples pour un même niveau, les parents d’élève d’une même école votent, sans intermédiaire
  108. Abolition de toute mention de la pseudo « obligation scolaire » (inexistante actuellement dans la loi mais imposée par les rectorats, les juges familiaux, les services sociaux etc), abolition de l’instruction scolaire obligatoire. Réforme totale de l’enseignement : liberté des universités et grandes écoles, liberté de fondation d’établissement, suppression de la carte scolaire, établissement de grilles de résultats, promotion au mérite, management, libéralisation
  109. rands travaux pour le transport à très grande vitesse individuel, porte-à-porte en vue du développement de l’intégralité des territoires et connexion aux pays voisins
  110. Grands travaux de restauration et reconstruction des monuments, châteaux, monastères et autres ayant été détruits par la révolution, les périodes de trouble, la fiscalité ou les politiques et révolutions urbaines
  111. Suppression du changement d’heure (été-hiver)
  112. Fin des « monopoles publics » (Fondation de France, attribution des droits d’émission audiovisuelle par le CSA etc.)
  113. Suppression du droit d’auto-amnistie parlementaire, révisions des amnisties précédentes, lancements des procédures de réparation
  114. Interdiction de la discipline des partis, suppression des quorums pour la constitution des groupes
  115. Établissement d’un monarque, éventuellement élu, et surtout sacré. Le monarque est le meilleur antidote aux pouvoirs clandestins (maçonneries, lobbies). Il est le représentant de la souveraineté populaire et assure la perpétuation des éléments fondateurs sacrés de la Nation, il a le pouvoir de s’opposer à une loi au nom des principes sacrés de la Nation, et dispose d’un pouvoir judiciaire étendu et régalien. Il est en capacité de dissoudre des organisations non-institutionnelles ou de dessaisir des personnes, quelles qu’elles soient, sans procédure, au nom des mêmes principes. Il est ab-soluta, absolu, c’est-à-dire sans lien à aucun lobby ou contre-pouvoir, il est libre. Nulle chambre n’a préséance sur lui
  116. Le peuple a le pouvoir de déposer le monarque s’il le demande à hauteur de 80% des voix
  117. Le monarque est issu d’une assemblée de gens formés dès le jeune âge à tous les métiers du peuple, par les métiers et choisi en son sein par l’ensemble des institutions et du peuple, à concurrence de 75% de voix du peuple et le reste aux institutions. Le monarque ne peut en aucun cas appartenir à quelque organisation politique ou assimilée que ce soit, il n’a le droit d’assister à aucune assemblée secrète à l’étranger, toutes ses dépenses se font sur ses fonds propres, il ne dispose pas de budget, sauf exception
  118. Rétablissement du français langue obligatoire en tous actes et productions des institutions nationales
  119. Prohibition de la bi-nationalité
  120. Restauration des statistiques ethniques
  121. Rétablissement d’une vraie Assemblée nationale, à nombre de parlementaires réduit (50 représentants maximum), en charge des lois décidées par le peuple
  122. Établissement de l’Assemblée des Sages (400 personnes) désignés par les corporations (organisations des métiers) veillant à amender, conseiller, recomposer les lois décidées par le peuple et les mises en œuvre de l’Assemblée nationale
  123. Rétablissement des Corporations légitimes qui protègent les citoyens, dirigées directement par eux et présidées par leurs représentants, qui ne peuvent être membre du Conseil des Sages
  124. Abolition des subventions aux « mémoires » racialistes ou idéologiques. Démantèlement des monuments païens « mémoriels » de la pensée officielle abolie, destruction de tout signe, ouvrage, œuvre, support quelconque ou bâtiment créé avec l’argent public à ces fins scélérates
  125. Sortie de toute espèce de convention imposant les règles étrangères à notre économie, nos administrations, nos industries, nos normes, nos productions, nos armements, nos armées ou autre. La France est absolument souveraine. Toute menace étrangère est rétribuée comme il se doit
  126. Fin des célébrations vieillies ou morbides : 14 juillet, 11 novembre etc.

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Ces mesures ne sont pas exhaustives et la nécessité dictera les urgences éventuelles

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