Pourquoi la crise est une bonne nouvelle

Cet article est la transcription de la vidéo : “Charles Gave, à son tour”

Petite vidéo pour vous montrer que l’on en vient progressivement à ce que je vous dis depuis des mois, voire des années. Écoutez bien ce que vous dit Charles Gave. Il vous dit : “Maintenant, nous en arrivons à une situation qui est une excellente nouvelle.” Qu’est-ce que je vous dis ?

C’est effectivement une bonne nouvelle.

Depuis très longtemps, je vous explique que ce système est tellement mauvais, tellement néfaste, qu’il vaut mieux en arriver à cette crise. Et l’illustration la plus flagrante, c’est l’incapacité dans laquelle se trouve l’Occident de pouvoir déclencher cette guerre mondiale dont il rêve et qu’il croit être la solution à tous ses problèmes. Cette incapacité tient au fait que l’Occident a détruit ses propres moyens, ses propres ressources, par sa gabegie, son incompétence, ses manœuvres qui, à l’origine, n’étaient pas faites pour ça. À l’origine, c’était bien pour diminuer la puissance de l’Occident en général, pour asseoir ce gouvernement mondial.

Donc, le plan, c’était amener ce gouvernement mondial par la destruction de la vieille civilisation occidentale, en particulier ce que je vous ai dit, ce vieux fond chrétien qui était un frein à cette destruction.

Ainsi, ils ont réussi cette destruction.

Résultat : ils ont tellement bien réussi cette destruction qu’ils n’ont plus les moyens d’entrer en guerre contre la Russie. Ils ne réussissent même pas la guerre économique. Alors qu’ils ont cru pouvoir la mettre à genoux.

Et Charles Gave nous explique – c’est très intéressant, regardez cette vidéo – très bien qu’au lieu d’avoir réussi à détruire la Russie, ce sont le dollar et l’euro qui s’écroulent face au rouble qui, lui, monte. Les Américains n’avaient pas les moyens, en fait, de mener cette guerre économique à la Russie, ce qui prouve leur profonde incapacité à saisir les choses. C’est la Russie qui, aujourd’hui, réussit à maîtriser les marchés et à donner le ton. Son rouble monte, et la Russie, la Chine et les BRICS sont en train d’organiser les marchés mondiaux, et ça se fait au détriment du dollar et de l’euro.

Tout cela est bien sûr relatif. Ce n’est pas du jour au lendemain que l’on passe de 100 à 0, mais vous voyez bien qu’aujourd’hui, l’influence est telle que le rouble monte, le dollar et l’euro s’écroulent, (ou tout au moins NdR) sont en baisse forte. Il vaut donc mieux qu’on en arrive à cette crise, y compris à cette crise très dure qui va nous arriver. Je ne le dis pas de manière irresponsable, comme quelqu’un qui ne sait pas ce qui va se passer, parce que je sais très bien que ce sont des drames épouvantables à venir.

On pense à la Seconde Guerre mondiale et ce qu’elle a été. Eh bien, ce qui nous attend ne sera pas moindre. Il n’y a donc pas lieu de se réjouir de ces événements à venir, s’ils arrivent, parce que nous ne sommes jamais les propriétaires de l’avenir. Néanmoins, cette crise à venir est préférable.

Mais il ne s’agit pas seulement de cette illustration particulièrement marquante d’un Occident rendu incapable de conduire cette guerre, au sujet de laquelle il rêve et tire des plans sur la comète. C’est tout le reste aussi. Du point de vue de l’économie, du point de vue de l’éducation, du point de vue de tout ce qui fait notre société, il est grand temps que cela s’arrête. Donc, en réalité, cette crise est une bonne nouvelle.

Alors, écoutez ce que dit Charles Gave. Je ne suis pas seul, voyez, à le dire, puisque maintenant, vous avez d’autres personnes qui en arrivent à le dire aussi. Écoutez bien : quand il n’y aura plus rien à piller, on sera toujours ramené au problème précédent. Au moins, ils ne peuvent pas augmenter les impôts parce qu’on est déjà mort. Il va donc falloir couper dans les dépenses de l’État de façon extraordinaire, tous les trucs qui ne servent à rien, et ce ne serait pas mal finalement. On aurait pu commencer par cela : c’est la seule solution.

Mais aussi curieux que cela paraisse, je deviens extraordinairement optimiste

Ah, parce qu’enfin, leur mensonge perpétuel qui veut que l’on n’ait pas besoin de travailler pour vivre est en train d’imploser. C’est-à-dire que l’on va automatiquement, et on commence avec ces élections, se libérer de cette classe crapuleuse qui nous gouverne depuis 40 ans et on va être libre. On va être pauvre, mais libre. On va être tendu, pauvre, mais on va être libre.

Ce que je dis, c’est qu’on a eu la chute du mur de Berlin. Les gens qui étaient de l’autre côté du mur, dans l’ensemble, étaient plutôt contents, mais ils en ont pris plein la gueule pendant un certain temps. Maintenant, vous leur demandez s’ils veulent retourner. Ils n’ont pas vraiment envie de retourner à ce bonheur communiste. Il va nous arriver la même chose. C’est le social-clientélisme qui va s’écrouler comme le mur de Berlin s’est écroulé. Nous assistons à la seconde chute du mur de Berlin mais, cette fois-ci, c’est nous qui sommes concernés.

Alors, attendez, c’est passionnant, et je sais que vous voulez poser une question, mais juste avant, ma dernière question à moi.

Comment va-t-il s’écrouler ? Eh bien, par la monnaie.

Par ce qu’ils ont créé… Vous savez, vous avez des actifs financiers dont la valeur doit correspondre aux actifs productifs qui sont en dessous. Par exemple, la masse monétaire en Europe a été multipliée par cinq depuis 2012, la crise de l’euro, et notre PIB en Europe est monté de 20 %. Donc, vous n’avez pas besoin d’avoir fait de longues études pour savoir que si vous multipliez la quantité de monnaie par cinq et la quantité de production par 20, vous allez avoir des problèmes avec le prix de la tasse à café.

C’est absolument certain. La valeur de la monnaie va donc s’écrouler. C’est-à-dire que tous ceux qui touchent des rentes en monnaie vont s’appauvrir : les fonctionnaires, les pauvres gars qui ont une épargne, etc. Mais ceux qui ont la volonté de se sortir, et de se donner du mal, vont se retrouver enfin libres de se développer. C’est-à-dire qu’on va littéralement tuer les petits hommes gris. On va vouloir retourner vers les entrepreneurs. Là, je crois que je reconnais un peu votre discours.

Oui, littéralement, on ne va pas les tuer, non. Mais alors, il faut aller un peu plus loin parce que ce n’est pas suffisant. Il faut anticiper davantage. Ce n’est pas seulement une affaire d’économie et d’argent. Il faut être bien conscient à quel point la situation est exécrable et pourrie dans cet Occident tellement mafieux, à un point qu’on n’a jamais atteint. Encore aujourd’hui, Robert Kennedy nous donnait une nouvelle information sur la manière dont se sont déroulées les élections internes au parti démocrate. La dimension mafieuse de l’Occident, ses crimes à répétition, ce désordre énorme, sans compter toute cette spéculation qui a détruit le travail… enfin, c’est un naufrage gigantesque. Je ne vais pas vous refaire la recension complète, mais c’est à telle enseigne, à tel point que j’affirme qu’une guerre nucléaire, selon ce que nous en savons, ce qu’a développé monsieur Chevrier, ne sera donc pas terminale, effaçant toute la population mondiale de la planète, non, c’est bien décrit. La guerre nucléaire sera beaucoup plus tactique que terminale. Elle sera très ciblée, seules certaines zones seront touchées.

On assistera à un désastre humain épouvantable, assurément, mais pas terminal.

Eh bien, ce désastre-là, qui sera épouvantable parce qu’il risque d’y avoir une perte de dizaines de millions de personnes, quand même, sera moins grave que ce à quoi nous conduit le système occidental actuellement. Je ne sais pas si vous imaginez ce que je suis en train de vous dire là, qui peut paraître un propos complètement cinglé ; mais en réalité, si vous regardez les choses, si vous regardez la manière dont on est en train de mettre la main sur l’humanité, de la domestiquer, les comportements fous qui visent à stériliser cette population, à l’assassiner par divers biais, à la détruire, à chercher la diminution de la population… cette réduction de population mondiale est rêvée par des fous de l’ombre, ces entités clandestines dont je vous ai déjà parlé et qui tiennent largement l’Occident. Tout cela serait bien pire. La perversité profonde de l’humanité serait bien pire que la disparition d’une partie de cette population.

C’est très grave, ce que je vous dis, c’est très très grave. C’est-à-dire qu’on est arrivé à un point dramatique.

Mais oui, il vaudrait mieux une guerre générale que la poursuite de l’Occident dans cette direction.

Et d’ailleurs, il n’y a pas besoin d’être chrétien pour le comprendre, même si cette formulation peut apparaître comme un paradoxe aux yeux d’un chrétien, dans une éthique chrétienne. Mais c’est vrai. C’est ce que je vous dis depuis toujours. Nous avons franchi cette barrière, cette ligne rouge il y a quelques années. C’est pour cela qu’ils veulent une guerre à tout prix contre un pays qui, de toute façon, va gagner. Parce que ce sont eux qui seront balayés, ces imbéciles-là, par cette guerre. Ils sont pervers, ils sont malades mentaux. Je parle là des Macron, des Olaf Scholz, des Ursula von der Leyen et de tous ces européistes. Mais ils ne réussiront pas. Et donc, ils auront perdu cette guerre et les conséquences seront extrêmement graves pour eux.

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