Résumé de la vidéo : l’autogénocide des français et autres occidentaux
“Je n’ai pas d’argent, je ne peux pas avoir d’enfant”
Ce matin, j’ai été confronté une fois de plus à un argument courant dans notre société contemporaine : celui qui lie l’absence d’enfants au manque d’argent. Cette idée fausse consiste à dire que la crise économique et le manque de moyens financiers sont des obstacles à la parentalité. Cependant, je vais expliquer pourquoi cette pensée est erronée et va à l’encontre de ce qui est réellement nécessaire. Prenons l’exemple de l’Inde, qui avait autrefois une population affamée avec 250 millions d’habitants, mais qui aujourd’hui, avec plus d’un milliard de citoyens, est en passe de devenir la nation la plus peuplée du monde et est bien plus prospère.
Les enfants sont une source de richesse
En réalité, il est faux d’attendre d’avoir de l’argent pour avoir des enfants. C’est plutôt l’inverse : ce sont les enfants qui apportent une richesse supplémentaire. L’histoire démontre que depuis toujours, avoir des enfants a été un moteur de richesse. Il est intéressant de noter que le taux de natalité augmente souvent en période de crise aiguë, ce qui souligne cette réalité. Avoir des enfants en grand nombre nous pousse à nous dépasser pour gagner plus d’argent. Si l’on attend d’avoir de l’argent avant d’avoir des enfants, on risque de ne jamais en avoir davantage, car rien ne nous poussera à en gagner plus. C’est lorsqu’on se retrouve avec des responsabilités familiales que l’on est contraint de chercher des solutions pour améliorer sa situation financière.
Personnellement, j’ai vécu cette réalité : confronté à une faillite d’entreprise avec sept enfants à charge, j’ai dû trouver des solutions radicales pour changer ma situation financière. C’est ainsi que j’ai atteint un niveau de vie confortable aujourd’hui. Dans les civilisations, la plupart des choses se font sous la contrainte plutôt que par choix délibéré. Une mère avec de nombreux enfants a statistiquement une journée plus organisée et plus enrichissante qu’une mère avec un seul enfant. Avoir plus d’enfants développe davantage de compétences et de ressources, même si cela peut être difficile et stressant. Ce défi est crucial pour le développement personnel et la prospérité de notre civilisation européenne.
Les enfants sont un moteur pour se dépasser
Il y a 250 ans, nos ancêtres ne bénéficiaient pas de la sécurité sociale ni de retraites, et les supermarchés n’existaient pas. Ils vivaient dans un monde sans assistance ni ressources externes, mais cela les obligeait à se débrouiller, ce qui les rendait plus forts physiquement et mentalement. Comparés à nous, ils étaient bien plus capables de travailler de longues heures sans épuisement. C’est pourquoi ils nous ont laissé un héritage considérable, alors que nous ne leur transmettons rien en retour. Nos contemporains qui se fatiguent après quelques heures de travail sont un parfait exemple de cette dégradation. Ainsi, dire qu’on attend d’avoir de l’argent pour avoir des enfants est absurde. C’est plutôt l’inverse : avoir des enfants nous pousse à développer nos capacités et à trouver des solutions pour améliorer notre situation.
De plus, les enfants sont une garantie de sécurité pour nos vieux jours. Avoir plusieurs enfants augmente nos chances d’avoir quelqu’un en bonne santé et avec des revenus suffisants pour s’occuper de nous lorsque nous serons âgés. Envisager d’avoir seulement un ou deux enfants comporte de grands risques à cet égard. Cette mentalité d’attendre d’avoir de l’argent avant d’avoir des enfants contribue à créer un environnement familial où les enfants s’éloignent rapidement. Lorsque les parents ne voient les enfants que comme une charge économique, un lien filial fort ne se développe pas, et les enfants se détachent de la famille. Dans le passé, les enfants étaient beaucoup plus proches de leurs parents car ils partageaient tout ensemble, des tâches ménagères aux festivités religieuses. Aujourd’hui, la société est fragmentée, et les enfants ont peu de partage avec leurs parents, ce qui conduit à des crises d’adolescence qui étaient inexistantes il y a quelques siècles.
On est en déclin démographique
Je partage ces réflexions car nous sommes confrontés à une crise démographique imminente, contrairement à la croyance répandue selon laquelle la population humaine augmente de manière exponentielle. En réalité, à l’exception de l’Afrique, la plupart des régions du monde connaissent un déclin démographique significatif. Cela signifie que dans un avenir proche, la population mondiale pourrait diminuer, ce qui entraînerait une augmentation des crises économiques.
Les implications économiques et sociales de ce déclin
La diminution de la population aura un impact sur l’économie, car les investissements deviendront moins rentables. Par exemple, si vous anticipez une baisse de la valeur d’une propriété dans le futur, vous serez moins enclin à l’acheter. Cette tendance se reflète également dans d’autres secteurs, comme l’industrie, où les investissements seront limités en raison d’un marché en déclin.
Les sociétés qui maintiennent une forte natalité auront un avantage dans ce contexte. Un exemple frappant est celui de la France au début du XXe siècle, lorsque sa puissance était liée à sa forte démographie. Cependant, des événements tels que la Première Guerre mondiale et les changements sociaux modernes ont contribué à un déclin de la natalité.
Il est important de comprendre que ces phénomènes ne sont pas le fruit du hasard, mais le résultat de politiques et de tendances sociales qui visent à réduire la population mondiale. L’abbé Scouillance, un démographe renommé, avait déjà prédit cette crise il y a plus de trente ans.
Si vous espérez un renversement de tendance démographique, je peux vous fournir des documents qui montrent la réalité de la situation.
Quelques exemples
Les données démographiques actuelles des grands pays occidentaux montrent un déclin alarmant de la population. Un exemple est celui de la Bulgarie, où la population ne parvient pas à compenser les décès par de nouvelles naissances, entraînant un déclin progressif de la population. Le même schéma se répète dans d’autres pays, comme le Canada, où la population est en voie d’effondrement, avec une moyenne d’âge élevée.
Au Japon, on observe un déclin démographique encore plus prononcé. Malgré un pic de natalité après la Seconde Guerre mondiale, la population japonaise a rapidement vieilli, avec un nombre croissant de personnes âgées par rapport aux jeunes. Cette tendance conduit à une diminution constante de la population, menaçant à terme la survie de la société japonaise.
Ces exemples illustrent un phénomène mondial de déclin démographique, à l’exception de l’Afrique, où la population continue de croître. À terme, cette tendance pourrait entraîner une diminution significative de la population mondiale.
Les projections démographiques pour la Russie montrent un déclin alarmant de la population, avec une perte annuelle estimée à 500 000 habitants en raison du non-renouvellement des générations et du vieillissement de la population féminine. Cette tendance, appelée crash démographique, est un sujet préoccupant non seulement pour la Russie, mais également pour l’ensemble des pays occidentaux.
Réaffirmer l’importance de la famille et de la natalité
Il est important de prendre du recul par rapport aux données officielles fournies par les gouvernements, qui peuvent parfois minimiser la gravité de la situation démographique. Par exemple, les statistiques de natalité incluent souvent les naissances d’étrangers en France, ce qui peut biaiser l’image réelle de la fécondité de la population française.
Luttez contre la mentalité de victimisation
La croyance selon laquelle il faut avoir de l’argent pour élever des enfants est une idée fausse. En réalité, c’est souvent l’inverse : avoir des enfants peut motiver les individus à développer de nouvelles ressources et compétences pour subvenir aux besoins de leur famille. Il est essentiel de reconnaître l’importance de la natalité pour assurer le renouvellement de la population et le développement socio-économique à long terme.
La mentalité selon laquelle il faut recevoir une assistance de l’État pour élever des enfants est une idée récente et aberrante. Nos ancêtres n’attendaient pas un soutien financier de l’État pour fonder une famille. Au contraire, ils se débrouillaient avec ce qu’ils avaient, sans attendre d’autorisation pour avoir des enfants.
Il est crucial de reconnaître que la natalité est un élément essentiel de la survie et du développement d’une société. Les chiffres démontrent que des taux de fécondité faibles conduisent inévitablement à un déclin démographique, mettant en péril l’avenir de la population.
Des calculs simples montrent l’impact significatif de la fécondité sur le nombre de descendants au fil des générations. Alors que des taux de fécondité élevés, tels que ceux observés dans certains pays d’Afrique, conduisent à une croissance démographique rapide, des taux faibles, comme ceux enregistrés dans de nombreux pays européens, entraînent un déclin de la population.
Il est alarmant de constater que de nombreux pays européens, principalement peuplés par des populations d’origine blanche, affichent des taux de fécondité parmi les plus bas au monde. Cette tendance, si elle persiste, pourrait avoir des conséquences désastreuses pour ces sociétés à long terme.
La responsabilité individuelle : un contrepoids à la décadence
Il est temps de remettre en question cette idée selon laquelle la procréation dépend de l’assistance de l’État. Nous devons retrouver une mentalité axée sur la responsabilité individuelle et la valorisation de la famille, car c’est à travers la fécondité que nous assurerons notre propre survie et celle de nos sociétés.
La démographie, c’est l’élément primordial dans l’histoire de l’humanité. Tout le reste est secondaire. Les musulmans, avec leur taux de natalité élevé, vont peupler la terre tandis que nous, nous risquons de disparaître. C’est le résultat de mentalités comme celle qui consiste à dire “j’aurai des enfants quand j’aurai de l’argent”. Ceux qui ne procréent pas sont condamnés à disparaître, c’est la loi naturelle.
Les discours sur l’immigration et les allocataires familiaux ne changent rien au fait que ceux qui ont des enfants assurent leur survie et l’avenir de leur race. Les publications alarmistes sur les changements à venir sont vaines, car il est trop tard. Nous ne sommes plus en nombre suffisant. Les politiques qui prétendent lutter contre ce déclin sont dépassés. Les solutions politiques proposées sont caduques, et même l’annulation de la politique de l’enfant unique en Chine ne redressera pas sa démographie. Les élites au pouvoir veulent opérer une submersion et remplacer notre vieille civilisation par une population d’immigration plus docile et contrôlable.
Face à ces enjeux, même des personnalités politiques comme Jean-Marie Le Pen reconnaissent la menace de devenir minoritaire dans notre propre pays.
Les dangers de la complaisance et de l’indifférence
Je me retrouve confrontée à une journaliste qui semble ne voir aucun problème dans la submersion démographique en cours. Pour elle, la disparition d’un peuple ou d’une culture ne semble pas être une préoccupation légitime. Cette attitude soulève des questions profondes sur notre société et ses valeurs.
L’absence de réaction face à cette réalité démographique alarmante est déconcertante. La journaliste semble même suggérer que la disparition d’une population n’est pas un problème en soi. Cette indifférence témoigne d’un état d’esprit déconnecté des enjeux humains et culturels fondamentaux.
Pourtant, il existe des solutions concrètes pour inverser cette tendance, notamment en encourageant une natalité plus élevée. La crise économique ne devrait pas être un obstacle insurmontable à cette fin. Il est temps de remettre en question nos priorités et de réaffirmer notre engagement envers la vie et la famille.
Les discours de victimisation et de fatalisme ne font que perpétuer un état d’esprit néfaste. Il est temps de rejeter cette mentalité de désespérance et de retrouver le dynamisme et l’optimisme qui ont caractérisé notre culture pendant des siècles.
Cependant, il est important de reconnaître que certaines situations, comme la violence conjugale, l’alcoolisme ou le chômage, peuvent effectivement rendre difficile la décision d’avoir des enfants. Il ne s’agit pas de condamner ceux qui font face à de telles difficultés, mais plutôt de comprendre que ces problèmes font partie d’un ensemble de défis sociaux et culturels plus larges auxquels nous devons faire face.
En fin de compte, il est essentiel de réaffirmer notre engagement envers la vie, la famille et la perpétuation de notre culture. Cela implique de rejeter la complaisance et l’indifférence face à la submersion démographique et de travailler activement à promouvoir une vision de la société qui valorise la vie et la dignité humaine.
L’argent est une excuse pour ne pas avoir d’enfants dans cette société matérialiste
Dans cette société où règnent les maux qui découragent d’avoir des enfants, l’argent devient une condition préalable à la parentalité. C’est une civilisation morbide, marquée par l’agression, le désir de ne pas travailler correctement, l’honnêteté est ignorée, et la vie est refusée. Les relations conjugales sont également affectées, les hommes étant influencés par cette mentalité malade. La dégradation générale de la justice, de la santé, de l’éducation, de l’économie et de la politique conduit à un effondrement de la natalité. Cependant, il est crucial de surmonter ces défis et d’avoir des enfants, car ils peuvent changer la société en transmettant de bonnes valeurs et en apportant de l’énergie et de l’imagination. Les personnes qui prennent des initiatives et posent de nouveaux fondements sont plus puissantes que les autres. Ainsi, en ayant des enfants, nous pouvons contribuer à construire une société meilleure. Plutôt que de se plaindre de l’immigration, nous devrions nous rappeler que nous sommes les artisans de notre réalité actuelle. Nous devons agir avec engagement et véritablement nous battre pour nos convictions, au lieu de simplement commenter passivement sur les réseaux sociaux. Certains exploitent le système des allocations familiales en ayant plusieurs enfants à la fois, aux frais de la collectivité. Nous ne devons pas oublier que la France a toujours eu des périodes de pauvreté, mais cela n’a pas empêché nos ancêtres d’avoir des enfants.
Je tiens à souligner que nos ancêtres ont affronté des épreuves bien plus ardues que celles que nous connaissons aujourd’hui. Ils élevaient huit ou dix enfants, une pratique qui, même récemment, était courante en Italie. Toutefois, de nos jours, avoir quatre enfants en Italie suscite des regards étonnés, soulignant un changement sociétal significatif. Ce phénomène n’est pas isolé à l’Italie, mais s’étend également en France et en Allemagne, où la natalité autochtone diminue, compensée en grande partie par l’immigration.
L’avortement détruit la natalité bien plus que les guerres
Depuis 1975, avec la légalisation de l’avortement, nous vivons une crise démographique plus grave que celle des guerres mondiales. Les chiffres officiels indiquent environ 200 000 avortements par an en France depuis lors, totalisant huit millions d’êtres humains non nés. Cette réalité se traduit par une diminution de la population active, compromettant ainsi le système de retraite.
L’impact économique de cette baisse de natalité est également préoccupant. Moins de travailleurs signifie moins de richesse produite, ce qui entraîne une augmentation des coûts de la vie et une diminution de la prospérité générale. Contrairement à l’idée reçue, une population plus nombreuse contribue à l’épanouissement économique, en stimulant la productivité et en assurant la pérennité des infrastructures.
La réduction de la population a des conséquences désastreuses sur la société dans son ensemble. Les villes se vident, les commerces ferment, et l’activité économique décline. Cette situation découle en grande partie de la chute de la natalité, un phénomène aggravé par des politiques publiques inadaptées et une perte de repères culturels et religieux.
Retrouvons notre Héritage et notre Force, agissons pour nos convictions.
En conclusion, l’idée selon laquelle le nombre d’enfants devrait être proportionnel aux revenus est une erreur fondamentale, voire une trahison envers notre nation et son héritage historique. Nous devons reconnaître que la fertilité est un pilier essentiel de la prospérité nationale, et agir en conséquence pour renverser cette tendance à la baisse de la natalité.
Faites des enfants !
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